Voici l'histoire d'un grand homme, d'un va-t-en-guerre, d'un immense héros. Une vraie belle grande histoire d'une vraie belle grande guerre comme on en fait encore. Avec des massacres comme à la télévision, de la terreur, de l'horreur à toute heure.
La Fable de la Renarde et Draconcio avaient déjà enchanté un large public. Avec El Hombre-cigüeña, (l'Homme-cigogne), les Titiriteros de Binéfar confirment leurs talents de conteurs-marionnettistes : leur spectacle a fait le tour du monde et remporté plusieurs récompenses dont le Premier Prix de théâtre jeunesse, en Espagne.
Dans la Chine du Moyen Âge, un vieux maître, artiste peintre, du nom de Wang-fô, erre de village en village avec pour seul compagnon son disciple, un jeune homme appelé Ling. Vivant dans la misère mais dédaignant l'argent, il aurait le pouvoir de rendre ses peintures vivantes, en ajoutant une touche de couleur aux yeux des personnages. Bientôt, il se retrouve harcelé par l'empereur tout-puissant... C'est avec une jubilation gourmande qu'Isabelle Bach donne vie à ce conte tiré des Nouvelles orientales, recueil de nouvelles de Marguerite Yourcenar, manipulant ici un masque, là une silhouette, créant des grottes de papier avec les dessins que Benoît Souverbie, son comparse, réalise en direct.
Spectacle familial (dès 8 ans)
